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Parrot

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MessageSujet: freya (pas fini)   freya (pas fini) Icon_minitimeLun 26 Oct - 7:59



Burning Love
She wants to caress his white feathers, She wants to taste his flavor but he is up in the sky and she has already succumbed to the darkness...


Hesediel & Freya



Information Personnage
Date de naissance ;;  19 Octobre.
Âge ;;  17 ans.
Sexe ;; Féminin
Nationalité ;;  Shibasakienne. 
Groupe ;; Académicienne, en dernière année. 
Race ;; Démone.
Clan ;; Clan Hesediel. 

Métier;; Aucun, bien que ce soit la présidente du comité de discipline.


Capacité/Pouvoir


Spécialité Démoniaque:
Description: Morsure Régénératrice.

Ce pouvoir n'est pas spécialement utile en temps de combats, mais il est pratique en cas de blessures importantes. En effet, en mordant ou en se laissant mordre par quelqu'un Freya est capable de se soigner et soigner une personne blessée physiquement. Plus la blessure est importante, plus la morsure sera longue et pompera à Freya son énergie. 

Spécialité Elémentaire:
Description: Sable 

Freya peut se servir du sable. Comme tout pouvoir élémentaire la difficulté principale réside dans le contrôle de celui-ci, mais aussi l'absence de sa présence parfois. Le désert et la mer sont les terrains de combats préférés de la démone. Afin de ne jamais être prise au dépourvue elle garde accrochée à sa ceinture une jarre rempli de grains. Dans la mesure où elle en possède un minimum elle est capable de le multiplier. 

Arme(s) Freya possède une magnifique boucle d'oreille petite et ronde, qui est incrustée de manière discrète dans le haut du cartilage de son oreille. Le petit anneau est serti de pierre précieuses blanches. On raconte que leur brillance rappelle les cristaux de roches. C'est cette boucle d'oreille qui lui permet de contrôler son pouvoir élémentaire. Elle possède en plus deux katanas qu'elle manipule avec grâce et soin. C'est une combattante aguerrie. 


Physionomie

-1m64
-Yeux violets, cils longs.
-Cheveux châtains clairs.
-Mince.
-Poitrine correcte.
-Jambes élancées.
-Musclée.
-Nez droit.
-Bouche fine et très pale.
-Mains aux doigts courts.
-Préférence pour le noir.
Psychologie

-Déterminée
-Passionnée
-Jalouse
-Vive
-Menteuse
-Manipulatrice
-Fidèle à la famille et aux amis.
-Orgueilleuse


Histoire



-Est la fille aînée, mais troisième enfant de Sayuri et Tsukasa Hesediel.
-A toujours vécu à l'académie et a grandi à Shibasaki.
-En dernière année de lycée, soit en 3ième année. 
-Est très amoureuse de Shannon Hishima.
-Elle n'a encore accompli que peu de missions et s'entraîne durement.
-Elle n'a vécu aucun drame notable dans son histoire.









Gardien

Nom: Kotoko
Race:
Description: 




Derrière l'écran


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Que pensez-vous du forum ? :
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MessageSujet: Re: freya (pas fini)   freya (pas fini) Icon_minitimeLun 26 Oct - 8:00



Forever and Ever
Ne lâche pas ma main.


Gotô/Hesediel & Sayuri





Information Personnage
Date de naissance ;;18 février.
Âge ;;36 ans.
Sexe ;;Féminin.
Nationalité ;;Anglo-japonaise.

Groupe ;;Personnel Académique.
Race ;;Exorciste.
Clan ;;Clan Gotô et Hesediel (par mariage.)

Métier;;Guérisseuse et Infirmière


Capacité/Pouvoir

Spécialité Spirituelle:
Description: Force extrême.

Cette spécialité permet à Sayuri de briser quelques côtes (et quelques murs) à un démon sans trop poser de soucis. C'est une magie qui décuple son énergie spirituelle, qu'elle concentre alors en masse dans une partie de son corps afin de s'en servir comme d'une arme. Le gros soucis de cette spécialité c'est qu'elle exige un combat rapproché et ne marche pas lorsque son adversaire se protège à l'aide de la magie élémentaire.

(Sayuri a son tatouage d'exorciste sur le poignet, un jolie papillon faisant référence à sa personnalité.)  

Inclassable:
Description: Empathie 

Le pouvoir d'Empathie de Sayuri lui permet de ressentir les émotions des personnes et d'apaiser leurs maux, voir au contraire, les accentuer, bien qu'elle ne sois aucunement adepte de cette pratique. Son pouvoir étant de nature psychique a été difficile à maîtriser, mais aujourd'hui elle s'en sert avec aisance surtout auprès de ses malades. Comme la plupart des inclassables, il n'est ni offensif, ni défensif et elle ne peut pas l'utiliser en situation de combat. 


Arme(s)Nigato.

L'arme de Sayuri est un magnifique et long nigato fais dans un bois extrêmement dur. Il est rétractable et la jeune femme l'a toujours sur elle. La lame de celui-ci a été forgée dans un acier extrêmement résistant.


Physionomie
Sayuri Gotô n’est pas très grande, mais pas petite, elle mesure aux alentours d’1m65, ce qui en soit est une taille plutôt correcte contenue de ses origines japonaises. Son père est par contre anglais, elle a pris de lui ses grands yeux en amandes d’un joli noisette, le galbe haut de ses jambes longilignes et son teint de peau très clair, d’une ravissante couleur crème. Ses longs cheveux plombant et noirs viennent en revanche du côté maternel, ainsi que son nez fin et son visage de poupée. Elle a des lèvres délicatement rosées et une poitrine forte qui donnent à son corps une silhouette désirable, mais une apparence un peu pin-up qu‘elle regrette. Elle a participé à beaucoup d’entraînements en combat quand elle était plus jeune, ceux-ci lui ont permis de se forger une très bonne musculature et une sacrée tonicité. Alliée à sa grâce naturelle et son charme, Sayuri peut être aisément qualifié de belle femme. La rondeur de ses seins et de ses fesses -qui forment des courbes pulpeuses- lui donnent une certaine maturité et l’attention de pas mal d'hommes portés sur l’ecchi ou le sexe. Elle se demande souvent d'ailleurs si Tsukasa ne lui préférerait pas une femme juvénile, mince et douce. Ainsi, elle envie beaucoup ses collègues à la taille de guêpe, plus menues, et à qui elle aurait voulu ressembler. Elle ne se fait pas vraiment confiance, même si, en raison de l’origine noble de son clan, il lui arrive de s’obliger à se montrer sous un jour plus sophistiqué. En soit, l’uniforme d'infirmière lui colle à la peau et beaucoup seraient prêt à lui dire qu’elle n’a rien à se reprocher, mais Sayuri n’est pas prête à l’entendre et ne demande rien à ce sujet de toute façon.
Psychologie
Femme sérieuse et mature. Ce sont les deux premiers mots dont on complimente toujours Mme Hesediel. Les mots hypocrites pleuvent souvent, mais ces deux qualités lui sont toujours prêtées avec sincérité. De part nature, Sayuri est fière ce qu’elle affiche avec ardeur dans son travail. C’est un individu accompli tant dans sa vie conjugale que financière. Cependant, bien que Sayuri soit une remarquable guérisseuse, elle a du mal à obtenir la reconnaissance du clan dont elle a hérité. En dépit de sa bonne volonté, la jeune fille à la mauvaise habitude de s’oublier le matin, ce qui lui vaut les foudres de son mari et patron régulièrement. Elle n’est pas une lève-tôt, encore moins une couche tard. C’est plutôt une inconditionnelle adepte de la sieste et il n’est pas rare qu’elle utilise ses pauses à l’infirmerie de l'établissement pour profiter de quelques heures de sommeil en plus.

Cela ne l’empêche pas d'être sportive car, en dépit de ses apparences posées, l'exorciste est une vraie tornade. Elle met un point d’honneur à ne pas se faire marcher sur les pieds et elle défend avec une émotivité brûlante les liens du sang et de l‘amitié. Sommes-toutes, un bon chien de garde. Sayuri est aussi restée une adorable jeune fille qui cache une timidité importante sous une couche épaisse d’effronterie. Néanmoins, une fois qu’on connait les bons boutons, ce n’est pas compliqué de faire perdre tous ses moyens à la brune. Ses joues à croquer se teintent alors d’un pourpre indécent et elle se met à bégayer. Sayuri n’est pas à l’aise quant à ses sentiments et a du mal à se gérer émotionnellement, notamment lorsqu’on la drague. Nombreux sont les hommes qui lui ont fait comprendre souhaiter un « one night stand » avec elle, ce qui ne l’empêche pas d’être prise au dépourvue à chaque invitation. Ces assauts répétés lui ont donné une mauvaise image de son corps. Elle en cache donc les courbes tant que mal, peu ravie à l’idée d’être prise pour une femme qui trompe son mari en raison de sa gentillesse ou l’opulence de sa poitrine.

Si elle sait dire non, la dame reste une bonne pâte et ce n’est pas difficile d’obtenir d’elle des petits services. C’est-ce qui fait que Sayuri se retrouve souvent à nettoyer une ou deux salles de classes à la place des élèves désignés pour accomplir la corvée. Elle est un peu naïve sur les bords et croit facilement ce qu‘on lui raconte. Une proie idéale pour les manipulateurs. Toutefois, attention, elle tape fort et n’a pas froid aux yeux. Serviable et ingénue, ne veut pas dire trop bonne poire. Sayuri connait par cœur tous les codes de la politesse ce qui ne l’empêche pas d’avoir la langue bien pendue et la main vive, une vraie tête-brûlée. Tant qu’il ne s’agit pas d’elle, Sayuri n’a aucun mal à se montrer incisive quant aux petits pervers sans tact de Shibasaki.

La magicienne reste malgré tout un être d’une douceur incroyable envers ses proches. C’est également une bonne confidente. Elle reçoit toujours beaucoup de chocolats à la saint valentin au grand déplaisir de son époux.


Histoire

Sayuri est une bâtarde, c’est le terme qu’on donne aux enfants nés hors-mariages, dans les grandes familles nobles. Sa mère a été l’amante d’un riche comte anglais pendant plusieurs années. Elle est née de leurs nombreuses nuits passionnées, passées dans un hôtel de luxe de Tokyo où sa génitrice travaillait en tant que femme de chambre. De son père, la jeune fille ne connut donc que peu de choses jusqu’à ses huit ans. Il était grand, blond et ne se souciait pas beaucoup d’elle. Il venait essentiellement rendre visite à sa génitrice, Akiko Gotô, qui, très éprise de l’européen se languissait toujours de ses visites, au point d’en délaisser parfois sa tendre petite fille. Les premières années de sa vie, ne furent pas faciles. Sa douce maman peinait à combler leurs besoins. Elle privilégiait la nourriture au logement et il y eut dés fois, où Sayuri connut les nuits froides des hivers. Sa mère le cachait toujours, par crainte qu’on ne l’enlève à ses soins. Heureusement, les mains salvatrices étaient nombreuses, parfois corporellement payantes, à la honte de sa protectrice, mais à l’ignorance de Sayuri. Elle put suivre le début d’une primaire ainsi à peu près normale, si ce n’est ses habits rapiécés et le gîte qui venait à manquait de temps à autre. Elles retrouvaient cependant, vite. On n’abandonnait pas une femme et un enfant. La petite fille s’était souvent demandée à l’époque, pourquoi son père n’intervenait jamais. Ce qu’il faisait, ce qui l’empêchait de venir les chercher et les délivrer de la misère, d’aussi loin qu’il était dans son pays d’origine, l’Angleterre. Ces attentes furent récompensées à l’approche de ses dix ans. Il arriva un beau jour une grande valise à la main. Elle ne savait pas comment il avait fait, ce qu’il s’était passé. Il parla beaucoup. Elle ne comprit pourtant pas grand-chose. Il les voulait désormais à ses côtés, car sa femme venait de mourir. Il était veuf, il avait besoin d’une épouse. Il aimait Akiko. Pour elles deux, ce fut un instant de pur bonheur, un moment de grâce. Pour son demi-frère, qu’elle rencontra quelques mois plus tard, le début d’une haine sans borne. Ed, comme la petite brune le surnomma, lui plût à elle. Elle n’avait pas de frère, pas d’amis. Elle venait d’arriver, ne parler pas un mot de la langue locale. Il fut naturel qu’elle se raccrocha au garçon. Néanmoins, cette affection n’était guère réciproque. Aux yeux du jeune, elle et Akiko n’avaient rien à faire ici. Il venait de perdre sa propre mère, il n’en voulait pas d’une autre, surtout d’une maîtresse. Quant à Sayuri, elle représentait tout ce qu’il détestait, idiote et bruyante, le genre qui ne savait rien de rien. Et, c’est vrai qu’elle ne savait pas. Elle dut apprendre, tout. Mangeait désormais avec une cuillère en argent signifiait savoir s’en montrer digne. On exigea qu’elle connaisse les codes de l’étiquette en haute société, qu’elle sache rapidement parler un anglais parfait et noble. Il lui fallut aussi maîtriser l’art des danses de salon tel que la valse. Lorsque se manifesta son don d'exorcisme vint ensuite, les combats au corps à corps. Leur père se chargeait personnellement de les entraîner tout deux. On aurait pu croire que son statut de ‘’Lady’’ l’aurait dispensé des exercices sportifs, mais le chef de famille ne voyait pas les choses de cette manière. Dans le monde d’aujourd’hui mieux valait savoir se défendre, surtout quand on était des exorcistes héritiers d’une famille renommée. Bien que Sayuri fasse de son mieux, elle avait du mal à suivre la cadence. A l’âge de 15 ans, il fut décidé qu’on l’enverrait poursuivre ses études à Tokyo, alors qu’Ed’ continuerait à recevoir des cours privés. On l’inscrivit sous le nom d’Akiko de manière à ce qu’elle se sente davantage à l’aise, de retour dans son pays natal, au Japon. Sayuri s’adapta vite à l’ambiance terriblement chaleureuse de l’école, loin de l’atmosphère rigide et austère de sa propre demeure. C'est également ici qu'elle fut la rencontre providentielle de celui qui deviendrait l'homme de sa vie et le père de ses enfants Tsukasa Hesediel...
(Cette histoire s'arrête volontairement ici, puisque les personnages vont être joués en flash-back.)





Gardien

Nom:Mille-feuilles.
Race:Chat.
Description:Mille-feuilles est une petite chatte noire qui possède un caractère bien à elle. Le petit félin aux moustaches frétillantes est un vrai chenapan ! Au premier abord, elle peut sembler d’abord un peu hautaine et distante. Mille-feuilles adore faire sa toilette et n’aime pas être dérangé. C’est à elle, de s’intéresser à vous et non l'inverse. Cependant, une fois amadouée c’est un vrai bout en train, ronronnant pour un rien et très joueuse.
Le petit hic, c’est que madame est volage. La petite Mille à la mauvaise habitude de s’enticher d’une personne ou d’un gardien à outrance, -cela va au point de vous suivre de partout, même jusque dans vos toilettes- puis, brusquement décider que vous ne l’intéressez plus ! Elle vous quittera aussi sec. Envers Sayuri la gardienne n’est pas bien mieux, si elle l’apprécie beaucoup, elle a une drôle de façon de le lui montrer. Ce que Mille aime plus que tout : L’Embarrasser. Elle fait donc toujours en sorte de la mettre dans les situations les plus gênantes possibles. Sa trouvaille la plus récente est de piquer les sous-vêtements de la jolie infirmière pour s’amuser à les cacher dans l’académie….


Derrière l'écran


Nom/surnom:Chacha, Kumi, Sayuri, Erista...
Âge:20 ans.
Sexe:Fille !
Comment as-tu connu le forum ?:J'en suis la fondatrice.
Que pensez-vous du forum ? :Je remercie mon staff pour m'avoir aidé à en faire un endroit magique !
As-tu bien lu le réglement ?:
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Race: Demon
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MessageSujet: Re: freya (pas fini)   freya (pas fini) Icon_minitimeLun 26 Oct - 8:01



Sakura
Il n'y aurait à mes yeux, rien de plus beau, qu'un courant qui  m'emporte au grès de ses flots..


Reizawa & Sango





Information Personnage
Date de naissance ;;25 août.
Âge ;;17 ans.
Sexe ;;Féminin.
Nationalité ;;De Momo.

Groupe ;;Académicienne en troisième année.
Race ;;Exorciste.
Clan ;;Fille du chef du clan Reizawa.

Métier;;Aucun, aide parfois à la traque.


Capacité/Pouvoir

Spécialité Spirituelle:Transformation en Dragon.
Description:

Sango n'a pas encore pris pleinement conscience de sa spécialité spirituelle. Elle sait avoir des blancs. Néanmoins, elle ne se souvient jamais de ce qu'il se passe durant la période où elle n'a plus forme humaine. L'académicienne prend tous les aspects physiques et avantageux de la créature qui la représente. Malheureusement, c'est une métamorphose inefficace contre la magie élémentaire. De plus, celle-ci lui est encore incontrôlable, d’où l'absence de précision sur ce pouvoir plutôt particulier dont elle ne connaît pour le moment ni les avantages, ni les défauts. En dehors de cela, c'est une archère redoutable qui ne manque presque jamais sa cible. Elle est reconnue à l'école pour être excellente dans la création de keikken (barrière magique), ou encore dans la purification par talisman. En personne attentionnée Sango aimerait développer des aptitudes à la magie de soin et devenir guérisseuse, à l'image de Sayuri Hesediel.

(Le tatouage d'exorciste de Sango -celui qui lui permet d'user de sa magie- se trouve à l'intérieur de sa cuisse gauche. Il est donc impossible d'en connaître la forme, à moins d'avoir eu des rapports intimes avec la jeune fille, ou partagé sa douche. )

Avantages :

-Griffes, dents, et force améliorée.
-Capacité à voler.
-Capacité à cracher des flammes spirituelles.
-Résistance à la magie démoniaque accentuée.

Désavantages :

-Taille imposante.
-Mouvement restreint.
-Transformation qui se brise au contact de la magie élémentaire.


Inclassable : Prière de vie
Description:  Sango est capable de ramener les morts à la vie ou d'aider les morts à se réincarner. Ce qui a péri, elle peut le restaurer à l'aide d'une danse, d'un chant ou d'une prière. Elle peut aussi le pousser à gagner une nouvelle forme, rentrer dans sa deuxième existence. Malheureusement comme tout don hors du commun, celui-ci se paie. Pour commencer, si Sango peut ramener à la vie certaines personnes, elle ne peut le faire qu'une fois, de même elle ne peut aider un même esprit à se réincarner plusieurs fois. La faucheuse à ses règles, on ne joue pas avec la mort et on ne lui échappe jamais complètement. De plus, la jeune magicienne ne peut pas ramener ou réincarner plus d'une personne par année. De même, elle ne peut pas restaurer la végétation de la terre entière, mais une plante, un arbre, une fleur, elle en est capable. Ce n'est pas un don offensif et elle ne peut pas s'en servir sur elle même. Enfin ce n'est pas une magie de soin, elle ne peut régénérer que ceux dont le coeur a définitivement cessé de battre. Dans une moindre mesure, son pouvoir lui permet d'apercevoir les esprits, sans ça elle ne pourrait pas les aider à regagner leurs corps ou changer de forme. Malheureusement, elle essaie de ne jamais utiliser son talent, par peur que les âmes des défunts ne s'accrochent désespérément à elle. 


Arme(s) Aucune. 

Physionomie
Que dire de Sango si ce n'est qu'elle est une très belle jeune femme. D'un port altier, la grande brune aux allures fantomatique dégage une présence reposante auquel se mêle la fraîche tendresse  d'une nuit de printemps. Son visage de marbre est celui des gens sérieux qui n'ont que du courage à revendre et ne se montre aux yeux du monde que dans la témérité et l'ardeur. Elle inspire la confiance et la pureté, c'est un esprit plein de sagesse qui au court du temps ne s'est jamais laissé tâcher par de malsaines pensées. S'il n'y avait pas l'obligation de porter au pensionnat l'uniforme, alors vous la verriez souvent vêtue de vêtements traditionnaux tel que les Kimonos. Cela dit, elle attache une affection toute particulière à sa tenue de prêtresse qui ne la quitte que très rarement. Elle lui rappelle le temps passé de l'autre côté du portail. Un rêve pour ceux qui ne l'ont pas connu avant, la voir porter cette assortiment de rouge et blanc, est devenu un fantasme pour beaucoup. Il faut bien avouer que la matière rend à son corps une silhouette très agréable à regarder. Belle sous toute les coutures – c'est le cas de le dire -, Sango n'en est que plus ravissante et naturelle. Plus petite que son frère, ou sa soeur, elle possède néanmoins des jambes longues qu'accompagnent un petit mètre soixante-deux. Une anatomie qui s'accorde avec sa prestance et la grâce innée qui a fini par imprégner son être alors qu'elle apprenait sans fins les nombreux katas des chants de l'exorcisme.

Elle est mince et ne pèse pas grand chose. Certains iront même jusqu'à la dire maigre et il est vrai que, sous sa peau, saillent parfois ses cotes. Le mouvement des os par-dessous le derme neigeux rend une image de fragilité dans laquelle nombreux se perdent à tort. Sango se défend dans bien des domaines et entretient son corps en conséquence. Si ses annexes sont fins, ils manient l'archer avec une dextérité transmise par des heures de pratique acharné. Les entraînements ont d'ailleurs vu se dessiner sur un ou deux doigts, une cicatrice discrète et invisible pour quiconque n'observe pas assez. Lorsqu'on s'attarde sur ses courbes, on peut voir qu'elle possède une poitrine ni trop volumineuse, ni trop petite. Des rondeurs qui s'harmonisent à ses hanches et donnent envie d'y poser les mains. Elle n'est pas du genre à complexer sur son poids ou le tour de sa poitrine, d'une nature assurée, mais modeste elle n'attache pas son attention aux regards qu'on adresse à son égard. Elle paraît inconsciente de ce qui l'entoure, à moins qu'elle ne préfère ignorer les avances, l'esprit déjà occupé par un homme parfait. Soyeux et parfumée, ses cheveux longs sont une cascade d'ébène aux reflets soyeux, comparable aux plumes bleutées des ailes d'un corbeau. Parfois elle les attache pour ne pas trop être dérangée dans ses gestes. Coupés court sur l'avant, ils s'arrêtent juste au dessus de ses yeux, masquant très légèrement ses sourcils. Ses iris sont grands et larges,d'une couleur ambrée à qui il arrive de prendre un éclat doré sous le reflet du soleil. Son nez, une œuvre d'art, est petit et droit. Ses lèvres douces et à peine rosée ne savent que sourire, rire, mais pas grimacer. Derrière elles se cachent des dents blanches parfaitement alignées.
Sango est juste splendide dans sa simplicité.
Psychologie
D'une nature calme et posée, Sango ne parle que peu et jamais pour rien dire. C'est une personne marquée par le sérieux, qui se complaît à donner à sa vie une minutie extrême. Elle aime que les choses soient cadrées et bien faites. Elle a un grand respect pour l'ordre et tout ce qui touche aux domaines de l'histoire. Élevée en bonne enfant de Momo, elle a reçu de ses ancêtres le même amour pour les vielles coutumes, les contes des siècles passées et l'odeur des anciens manuscrits. Si son visage à l'extrême douceur n'accorde presque aucune information sur ses pensées, c'est pourtant une jeune fille qui se passionne pour les mystères de la vie et de la magie. Sa sœur aînée modèle de grâce et d'austérité lui a appris à faire fit des apparences pour se concentrer sur l'essentiel, aussi elle n'est pas superficielle. Cela reste toutefois plutôt paradoxal puisqu'elle apprécie entretenir le détail et veille à porter des tenues toujours propres et non froissées. D'un caractère un brin direct, Sango -si dotée d'une patience incroyable- n'hésite pas à casser quelques œufs quand elle l'estime nécessaire. Son rire cristallin cache une franchise à toute épreuve, qui peut se révéler absente d'une compassion que son cœur nourrit pourtant toujours à l'égard d'autrui.  Bien que Sango soit d'une grande maturité, il est évident qu'elle n'a pas su couper complètement le cordon ombilical qui la relie à sa famille. Elle se soucie peut-être trop des intérêts de son père, ce qui lui coûte aujourd'hui une liberté qu'elle sait sans prix. Les épaules lourdes sous les attentes d'un homme qui l'adore et pour qui sa poitrine se serre d'une affection sincère, l'académicienne a peur de manquer à tous ses devoirs en trahissant à son tour celui qui prend soin d'elle depuis toujours, son merveilleux père Makoto Reizawa. Entre dilemme et incertitudes, l'adolescente se noie dans un flot d'indécisions, ce que l'amant secret de ses nuits, comme ses amis, lui reproche souvent. Son incapacité à prendre sa vie en main ou affirmer ses opinions est ce qui exaspère le plus son entourage. Cela dit, Sango a un cercle d'amis honteusement large. Les personnes qui lui sont hostiles se font rares. Sa gentillesse, son intelligence et sa beauté ont le don de charmer ses camarades à longueur de journées. Le fait qu'elle se refuse à toutes relations ne fait qu'enhardir l'ardeur de certains prétendants qui n'attendent qu'une autorisation pour venir voler un baiser à ses lèvres censées vierges de la moindre impureté. Son application à réussir ce qu'elle entreprend, ses notes parfaites et ses attitudes très féminines,  la complimentent -depuis le collège- du surnom de « Nadeshiko », femme japonaise qui représente l'idéal d'une épouse parfaite à la fois calme, silencieuse et compréhensive.  En dépit de ses fiançailles, elle entretient une relation distante avec Tatsumi Mikoshiba, ce qui rassure la plupart de ses amis. Enfin, s'il faut rajouter un dernier détail sur Sango, c'est de ne jamais oublier son immense courage et sa grande dévotion. Sa fidélité est à complimenter. L'hypocrisie n'est néanmoins pas sa tasse de thé. La rancune n'a point de place dans son cœur, mais la méfiance qu'elle éprouve peut se révéler aussi désagréable qu'une écharde enfoncée sous la peau.


Histoire

Avertissement (Cette histoire sert également de premier rp, d'où sa forme inhabituelle)

Ses grands yeux mauves me fixaient, imperturbables. Chidori avait toujours eu un regard pénétrant, de ceux qu'on n'oublie jamais. Le violet de ses iris me rappelait le regard de Freya, ou encore celui du directeur, tellement pénétrant. Elle n'était pourtant pas de leur famille, ni même humaine. Bien que son incroyable beauté tienne des déités, j'avais toujours du mal à réaliser que ses mains fragiles, aussi douces qu'une peau de pêche, ne soient en vérité qu'une enveloppe qui se dissoudrait un jour. Elle tenta de m'offrir un sourire incertain, timide et un peu crispé. Elle ressemblait à Hanayo. Elle n'avait pas l'habitude de rire. Chidori et ma sœur ne savaient pas comment s'exprimer et cela les rendait adorables à leur manière. Je récompensai la tentative de ma gardienne d'un signe de tête amusé et allais l'appeler quand un coup de vent vint faire claquer la vitre de la fenêtre à mon nez. Mon regard se posa sévère sur Hirosuke. La bouche en cœur et négligemment coiffé, le jeune homme affalé sur la table ne donnait l'air de rien, mais je n'étais pas dupe de ses airs de sainte ni touche. Depuis la découverte de son élémentaire il y a un mois, ce coureur de jupons trouvait amusant de s’entraîner à la barbe et au nez des filles de l'établissement. Avec un soupir désespéré, mon sermon retenu sur le bout de la langue -le gronder ne servait à rien, pire cela l'enhardissait- je me décidai à sortir. Déjà Chidori me signalait télépathiquement qu'elle m'attendait. Comme à chaque fois depuis pourtant bientôt dix ans, à la formation des mots dans mon esprit, je frémis. Bien qu'il m'était impossible de connaître le son de sa voix, je l'imaginais chantant, pareille à la mélodie du rossignol au printemps. Une main plaquée à ma jupe d'uniforme pour l'empêcher de voler alors qu'Hirosuke me pointait du doigt d'un sourire taquin, je sortis en trombe. Je félicitais ma chance d'être au premier étage et non au cinquième aujourd'hui.Avec toute la technologie de Shibasaki, on aurait pu croire que le directeur aurait fait mettre des ascenseurs dans l'établissement. J'étais persuadée qu'en fait ce dernier prenait un vicieux plaisir à voir ses élèves monter et descendre les escaliers à longueurs d'heures.

Je me plaignais pour la forme, mais si je devais être honnête cela ne me manquait guère. À Momo, les montes-charges, la télé, internet et même les téléphones portables étaient autant d'objets inutiles. J'avais grandi sans et je pouvais vivre sans, bien que cela m'éloigne parfois des autres étudiants. Nous étions peu à venir des villages, peut-être une centaine sur plus de mille académiciens, ce qui expliquait que certains d'entre nous ne s'intègrent pas bien. J'avais souffert de ces formes d'exclusions au début de ma scolarité, puis avec ma prise d'importance en tant qu'amie de la présidente du comité, j'avais fini par obtenir ma petite popularité. Un dernier pas sur le carrelage marbré de l'université et j'obtenais enfin le droit de sentir sur ma peau, la fraîche caresse du vent. La bise hivernale était encore douce, elle ne mordait pas la chaire et le soleil bien que pâle en réchauffait un minimum le courant. Je pensai alors à Suzuna, ma tendre jumelle qui devait sans aucun doute regarder -comme chaque matin- un ou deux colibris se posaient à la fenêtre d'une chambre qu'elle n'aurait pas le droit de quitter avant l'été prochain. Je savais la soif qui était sienne de pouvoir, comme eux, s'envoler à tir d'ailes.

Je connaissais Suzuna mieux que personne. Il me suffisait d'un coup d’œil léger pour que je devine avec une acuité proche de la télépathie ce qui animait ses pensées. Je n'avais pourtant pas de don de prescience contrairement à elle, puissante chamane qui semblait entrevoir les liens du futur depuis son plus jeune âge. Beaucoup s'amusaient à dire que nous étions deux exactes répliques, mais je nous trouvais un tas de différence. Suzuna était plus rêveuse et joyeuse. Elle avait des yeux d'un rubis fantastique, même si elle en cachait la réelle couleur par timidité, et une chevelure à se damner. Je ne possédais rien de tout ça. Je n'étais qu'une petite brune aux yeux marron, nos visages abordaient juste les mêmes traits, mais la vraie beauté c'était Suzuna. Un pincement serra ma poitrine. Ma jumelle n'avait jamais eu la santé, elle avait un cœur trop fragile qui ne supportait, ni les chocs, ni les activités sportives. Ainsi, quitter Momo lui était strictement interdit. Elle me demandait souvent -des étoiles plein les yeux- comment était l'académie et Shibasaki. Depuis, je passais la plupart de mon temps à lui rédiger des courtes nouvelles sur ma vie ici. Évidemment, je romançais légèrement mon quotidien, histoire que la fiction soit plus attrayante que la réalité. Pour ma moitié qui ne pouvait voyager, nourrir son esprit d'aventures trépidantes afin d'écarter l'ennui était essentiel. Cela me prenait du temps, cependant je m'y accordai avec plaisir. Rien n'était plus important à mes yeux que ma famille. Papa, frère, Suzu, Hana et...

-Chidori ! -J'envoyai une main énergique en direction de ma gardienne.

Celle-ci se redressa. Elle se tendit et m'accorda un regard curieux. Chidori était comme un nouveau-né qui s'entrainait à marcher. Elle ne savait pas ressentir, mais tentait d'apprendre. Arrivée bientôt à sa hauteur, je remarquai la silhouette d'un grand blond à ses côtés. Les prunelles de l'étranger se posèrent sur moi aussi saisissantes de froideur que de splendeur. Le profond jaune mordoré qui circulait autour de ses pupilles noires m'abandonna pantoise. Si j'avais dû en faire une description poétique et précise, j'aurai dit que le soleil s'était logé au creux de ses yeux. Avec son visage pâle et sa gueule d'ange, l'homme en face de moi était si beau qu'il en devenait inhumain. Je le vis passer une main dans ses cheveux lumineux, d'un air ennuyé. Entre sa cigarette à la bouche et son air un brin hautain, son attitude austère formait un étonnant contraste avec sa carnation neigeuse et la teinte lumineuse de ses cheveux. Chidori rougit et baissa la tête sans prévenir. Elle se mit à lisser les manches du long et magnifique kimono en soie noire que mon père lui avait offert, signe qu'elle était embarassée. Un comportement plutôt étonnant pour ma gardienne qui ne se montrait pas sentimentale en présence d'inconnus.

-Chidori, qui est ce ? -interrogeai-je-


A ce moment là, je ne savais pas, que cette rencontre serait le début d'un long voyage.








Gardien

Nom:Chidori.
Race:Humaine.
Description:Chidori  à l'apparence d'une magnifique jeune femme, austère, un brin hautaine et d'un silence qui ne trouvera jamais de mots. Le gardien de Sango renvoi au monde une image de magnificence tant par sa beauté, que sa délicatesse. Les deux jeunes femmes sont proches. Chidori est le plus grand soutien de Sango, qui trouve en cet être encore plus ignorant qu'elle, l'innocente fragilité d'un nouveau-né.




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MessageSujet: Re: freya (pas fini)   freya (pas fini) Icon_minitimeLun 26 Oct - 8:03



Adamant Queen
No pain, no gain


Amaterasu Esdess




Information Personnage
Date de naissance ;;25 Décembre
Âge ;;24 ans
Sexe ;;Féminin
Nationalité ;;Démon d'Eikyuu

Groupe ;;Renégats
Race ;;Démon
Clan ;;Princesse du clan Amaterasu

Métier;;Générale en chef de la division spéciale d'Eikyuu. (Dirigeante d'une troupe d'agents spéciaux et surentraînés.)


Capacité/Pouvoir

Spécialité Démoniaque:
Description: Sceaux.

Esdess a la fabuleuse capacité de connaître le puissant art des sceaux. Cette magie lui permet de créer un panel d'attaques variées et de s'armer face à toutes situations. Si elle pousse son don à l'extrême, la générale est même capable de créer ses propres signes. "Les sceaux ancestraux" -comme on les appelle dans le monde d'Eikyuu- sont une série de signes divins et anciens. Connus seulement de quelques uns et maîtrisés par aucun, Esdess est la première démone à avoir réussi à en comprendre les subtilités. Bien évidemment, comme toute magie démoniaque, les sceaux peuvent se révéler inefficaces face à de très puissants exorcistes. De plus, ils ont une durée "de vie" limitée dans le temps en fonction de la puissance magique qui a été nécessaire à leur création.

Spécialité Elémentaire: Diamant.
Description:

Matériau le plus solide au monde, la pierre précieuse est comme une seconde peau pour la fille du roi dont la légendaire armure hante les esprits. On raconte que personne n'a jamais réussi à blesser Esdess, et pour cause, rien ne peut percer la coque dont elle se couvre en temps de combat. On raconte que la lame de son épée n'est d'ailleurs pas faite de fer, mais de la même pierre précieuse. Elle est ainsi peut-être le guerrier le plus résistant de la planète, sa principale faiblesse résidant dans les sources de chaleur intense qui pourrait faire perdre à ses attaques leur efficacité.

Arme(s)L'arme d'Esdess est une épée longue et fine. Très simple, elle rappelle les épées utilisées il y a plusieurs siècles en Europe.


Physionomie

Psychologie

Le sol et le ciel étaient poussiéreux d'un millier de grains rougi par le sang. Les nuages rosés par l'aurore semblaient pomper l'humidité morbide de l'hémoglobine qui creusait une rivière continue dans le creux des dunes de sable. La bataille avait fait rage une grande partie de la nuit et les oreilles des soldats du roi étaient encore assourdies par les cris stridents des dardagues. Les pinces avaient tranché bien des têtes et leurs dards pourfendues bien des ventres, d'ailleurs la terre ressemblait davantage à une mare sans fin de boyaux qu'à un désert. C'était il y a une semaine que la menace d'une colonie prête à passer la frontière entre Gobi et les Terres Arides avait été signalé au palais. Comme à chaque rasade qui impliquait le massacre d'une dizaine de Yaseis, le roi envoyait ses meilleurs agents et chargeait le plus beau parleur de ses conseillers pour convaincre Shibasaki de la nécessité d'une battue. Les créatures étaient  tuées en bêtes et la plupart des démons envoyaient au combat ne rencontraient pas plus glorieuse mort. 

Aux pieds de la princesse d'Eikyuu la carcasse de la reine émit un désagréable gargouillis,  puis s'affaissa pour mieux maculer la plaine de son liquide noirâtre aux odeurs pestilentielles. D'un geste désinvolte Esdess essuya les éclaboussures foncées et encore fraîches sur le coin de sa joue. Les corps des scorpions géants étaient parcourus d'une substance brûlante et terriblement irritante. Elle provoquait un fourmillement incessant et désagréable. La moitié de son armée s'était faite avoir par la cuisante douleur. Elle jeta un dernier regard statique aux alentours dévastés. Au milieu de ce champ d'horreurs, les lointaines montagnes blanches des terres enneigées apparaissaient toujours plus immaculées. Une illusion de paradis dans cet enfer où la chaleur ambiante faisait déjà pourrir les chairs mortes.

-お姫様!ご無事ですか?!(Princesse ! vous n'avez rien ?!)

Les yeux d'Esdess se posèrent sur le colonel Fenrir. Ses grands yeux gris clair la fixaient, sans failles. Une partie de son armure avait été brisé. Elle pouvait entrevoir un morceau de métal encastrait dans la peau au niveau des côtes, mais il ne semblait pas broncher, ni même souffrir. Avec son don sismique Fenrir avait achevé une grande partie de la bataille. Il était une pièce importante dans les rouages de l'armée. La démone retira son épée d'un mouvement sec. L'arme, longue et fine, émettait une aura douce entre ses doigts. Sa délicate vibration apaisa son esprit assoiffé d'adrénaline. 

-生存者はどれぐらいますか?Combien de survivants ? 

-十人です、姫様。Une dizaine, Princesse. 

-全員を殺しなさい、フェンリル。王の命令です。Tue-les tous Fenrir, ordre du Roi.


Son pied écrasa la tête d'un soldat agonisant. Sous son talon le crâne produit un craquement détestable. Esdess était la générale des divisions secrètes de l'Empire d'Eikyuu. Son sourire avait l'allure de la mort. Son regard était cynique et froid, aussi polaire et meurtrier que les grandes tempêtes du nord. De tous, elle était la pire, la plus cruelle et la plus vile. Son enfance avait été forgé dans la dureté. Peu de sentiments pour une violence extrême et des besoins sanguinaires. Il se racontait dans tout l'empire que la princesse Amaterasu ne connaissait ni la douceur, ni la tendresse. C'était un monstre aux allures de femme sexy. Le genre de prédateur qu'on ne croise qu'une fois, avant de mourir. 




Histoire







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